C’est un Yoann Gourcuff sincère et posé qui s’est livré dans les colonnes du quotidien local, Le Progrès. L’OL, l’équipe de France, Claude Puel, le milieu de terrain français n’a éludé aucun sujet. Extraits
Son retour en Bleu
Très bien, tant au niveau de l’état d’esprit que des résultats. On a pris la première place de notre groupe, et on peut donc parler de dix jours très positifs passés ensemble. Quand on pousse un peu l’analyse, dans le contenu, l’équipe se cherche encore et peut s’améliorer, mais la difficulté pour une sélection c’est de mettre un collectif en place, de trouver des automatismes et une idée de jeu. Mais gagner permet toujours d’être plus serein.
Le début de saison difficile de l’OL
L’OL n’était pas très bien classé non plus avant que j’arrive, donc je savais que ce serait difficile, mais il faut aussi voir les points positifs. Pour l’instant, on a bien démarré en Ligue des Champions. C’est une compétition importante pour le club, mais si on veut la rejouer la saison prochaine, il faut réussir en championnat, retrouver ce brin de réussite qui nous fuit. Aujourd’hui, on a ce classement, mais cela peut s’inverser, le championnat est très long, et rien n’est encore défini. On s’est mis en situation compliquée, mais on est capable de réussir une série intéressante. Il ne faut pas paniquer et rester lucide pour sortir de ce passage difficile.
Claude Puel
e ne sais pas ce qui s’est passé les saisons précédentes pour en arriver là. Les banderoles en ville? C’était étonnant oui… Tout cela joue contre l’équipe aussi. Personnellement je n’ai rien à lui reprocher et je ne sais pas d’où vient cet acharnement. Le fait de critiquer l’entraîneur n’empêche pas la responsabilisation des joueurs. Moi j’ai toujours été très exigeant avec moi-même et avec les autres. Le coach fait tout pour former une équipe compétitive, mais ce sont les joueurs qui sont sur le terrain.
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