Souleymane Diawara, actuellement indisponible jusqu’à la fin de la saison en raison d’une blessure au genou, a assisté dimanche soir à la défaite de son équipe, l’OM, face au PSG (2-1).
Une défaite que le défenseur marseillais encaisse mal : « On était tous dégoûtés. J’ai vu mes coéquipiers vraiment abattus dans le vestiaire ; certains sont longuement restés assis, ont tardé à aller prendre la douche, le regard dans le vide… Le plus frustrant, c’est qu’ils ont bien senti qu’il y avait la place pour s’imposer dans ce match. Ça fait d’autant plus mal. Mais oui, perdre contre Paris, c’est d’autant plus difficile à encaisser. Sur un plan personnel, j’ai plein d’amis là-bas, qui sont supporters du PSG, et je voulais leur faire fermer leur bouche à tous en venant prendre les trois points. Là, je suis vraiment dégoûté » a-t-il déclaré dans les colonnes de La Provence ce mardi.
Et quand le journaliste lui rappelle que mathématiquement, le maintien n’est pas assuré, Souleymane Diawara répond : « (Sourire embarrassé). Non, quand même, il ne faut pas commencer à abuser ! Alors oui, en ce moment, c’est difficile, et tout le monde commence à nous dire que les clubs du bas de tableau reviennent, que l’écart se réduit… Mais il reste encore quelques matches et je préfère penser à la possibilité de faire un petit truc d’ici la fin de saison. Il faut toujours regarder vers le haut. Il y a un alpiniste qui disait: « Si tu veux monter plus haut, ne regarde jamais en bas ». C’est la ligne de conduite que l’on doit se fixer » conclut le défenseur marseillais.
2 commentaires
si OM n’a pas d’argent pour acheter quelques matchs , il faut envisager la D2, ce qui conviendrait mieu au niveau de cette équipe
gg, c’est pour gogol non? arrête de dire des bêtises c’est une fin de cycle ça arrive on va remonter une belle équipe l’an prochain en vendant deux trois joueurs, on a joué sur 4 tableaux cette année et fait un quart de C1 sans compter que l’on va peu être gagner au moins un titre ce qui n’est pas assuré pour tout le monde alors arrête de parler pour rien