Le PSG n’a donc pas fait mieux que l’ensemble des clubs français en s’inclinant sur la pelouse du Benfica Lisbonne là où aucun club de l’hexagone ne s’est imposé dans toute l’histoire des Coupes d’Europe. Avec une équipe privée de Zlatan Ibrahimovic notamment, les Parisiens se sont inclinés 2-1 dans une rencontre sans enjeu. Retrouvez ci-dessous les principales réactions d’après-match.
Laurent Blanc (Entraîneur du Paris Saint-Germain)
« En première période, on a fait ce qu’il fallait, en nous procurant des occasions et en marquant. Mais en deuxième, on a manqué d’ambition et on s’est fait bouger par le Benfica. Même si j’ai laissé des joueurs cadres à Paris, l’équipe de départ avait fière allure. Il n’y a qu’à regarder le nombre d’internationaux sur le terrain. On est déçu, mais il faut passer à autre chose. N’oublions pas que nous sommes qualifiés. »
Marquinhos (Défenseur du Paris Saint-Germain)
« Cela a été un match difficile, on s’y attendait. Le Benfica est une bonne équipe à domicile. On a fait une bonne première période, mais ça n’a pas suffi. En huitièmes ? On ne veut éviter personne. A ce stade, il n’y a plus que des grandes équipes. Si on veut aller loin, il faudra battre tout le monde. »
Javier Pastore (Milieu de terrain du Paris Saint-Germain)
« On savait que cela allait être difficile. Beaucoup de joueurs qui ont un temps de jeu réduit étaient alignés. Je suis content d’avoir eu du temps de jeu, c’est important pour continuer à accumuler de la confiance. J’essaye toujours de m’améliorer, de faire plaisir à l’entraîneur et de donner le meilleur pour l’équipe. »
Adrien Rabiot (Milieu de terrain du Paris Saint-Germain)
« On s’est battu avec nos armes. A Lisbonne et face à une équipe qui jouait sa qualification, on savait que cela allait être compliqué. On a essayé d’aller les chercher. Nous, les jeunes, accumulons de l’expérience sur ce genre de match. Jouer quatre-vingt-dix minutes ici, ce n’est pas rien. En Champions League, il y a beaucoup plus intensité qu’en Ligue 1. »
Jesus (entraîneur de Benfica Lisbonne)
« La chose importante était de faire ce qu’il fallait faire, battre le PSG et attendre le résultat de l’Olympiakos. Il y avait beaucoup de choses en jeu, non seulement la qualification mais aussi l’argent qui va avec. Benfica a fait une meilleure deuxième période que la première, avec plus de pressing et une supériorité physique face à un PSG fatigué. Nous aurions pu mettre un troisième but… C’est dommage de ne pas se qualifier, le PSG et Benfica étaient les deux meilleures équipes du groupe »