Le président de Toulouse, Olivier Sadran, a remis en cause l’avenir de son attaquant Yassim Ben Yedder. Alors que celui-ci disposerait d’un bon de sortie, le dirigeant toulousain ne semble plus aussi affirmatif que cela.
Dans un entretien accordé à la Dépêche du Midi, Olivier Sadran fait part de son sentiment concernant le départ ou non de son attaquant : « Je n’en sais rien ! On n’a pas l’obligation de vendre, on a juste obligation de préparer l’avenir avec une visibilité sur 3-4 ans. Mais, pareillement, dans l’hypothèse de choses complètement farfelues arrivant sur le bureau, on avisera » a-t-il expliqué.
« Je vous rappelle que, quoi qu’il en soit, un transfert est un mariage à 3. Si je ne veux pas, Wissam ne part pas. Vous me connaissez » a-t-il ajouté. On le connaît tellement bien qu’il répète la même technique chaque année pour faire monter les enchères et vendre le plus cher possible son joueur au plus offrant.