Le but marqué par les Girondins de Bordeaux n’a pas fini de faire couler de l’encre. Les réactions sont unanimes concernant la décision de l’arbitre M. Varela d’accorder le but. Et que dire de son assistant. Retrouvez ci-après les principales réactions à ce sujet.
Jean-Louis Triaud (président de Bordeaux)
On peut également dire que les arbitres ne sont vraiment pas brillants en ce moment.
Pablo Correa (entraîneur de Nancy)
Je ne vais pas me mettre à pleurer pour ce genre d’actions litigieuses. Nous digérons difficilement la défaite mais cela ne s’arrête pas là. Il faut maintenant lever la tête et repartir.Il faut travailler et travailler encore pour que cela ne se reproduise plus. La réserve technique n’a aucune chance d’aboutir, c’est une erreur d’appréciation de l’arbitre. Nous avons autant de chance de la voir aboutir que de gagner à l’euro million vendredi prochain ! (source : Girondins.com)
Fahid Ben Khalfallah (joueur du FC Girondins de Bordeaux)
Sur notre 2ème but, nous sommes contents, nous n’avons pas revu les images. C’est dommage pour Nancy, il y a des erreurs qui nous sont profitables. Cela nous a souri ce soir, nous avons eu énormément de chance contrairement à la semaine dernière. (source : girondins.com)
M. Varela (arbitre du match)
Malheureusement, c’est une mauvaise décision de notre part, comme tout le monde a vu. J’ai une première pensée pour Nancy. C’est malheureux pour eux. Mon assistant est persuadé que Wendel fait une main quand le ballon est entré dans le but. (source : canal +)
Julien Feret (joueur de Nancy)
Nous sommes tous surpris de la décision de l’arbitre, il n’y a pas but pour nous. Il me semble que le ballon tape le poteau et revient dans les bras de Damien. Je ne pense pas que le ballon soit rentré. L’incident est clos désormais. (source : asnl.net)
Nicolas Puiravau (journaliste à Football365)
M.Varela et son assistant non-voyant ont écrit une nouvelle page mythique de l’arbitrage français en accordant un but de la main qui n’est même pas rentré. Mais que les Nancéiens, lésés ce soir, se rassurent : il a reconnu son erreur. L’honneur est sauf !