C’est avec ambition et l’envie de prouver qu’il peut réussir dans le dur championnat de série A italienne ce qu’il a réalisé en Grèce pendant deux ans dans les rangs du Panathinaikos : « Je n’ai pas attendu d’être en Grèce pour marquer des buts. Je sais ce que je vaux, je sais ce que je veux, et je peux vous dire que je ne suis pas mort pour l’équipe de France. La Grèce ce n’est pas assez costaud ? On va voir cette saison. Le sélectionneur connaît bien le Calcio. Et il veut des attaquants qui marquent des buts dans les grands championnats. Alors si je claque là-bas… » déclare l’ancien Marseillais dans les colonnes de l’Equipe ce vendredi.
C’est l’une de ses raisons qui l’on poussé à venir jouer en Italie : « L’équipe de France a toujours été ma priorité. Je viens de réaliser deux super saisons avec le Panathinaikos (43 buts). Mais visiblement, ce n’était pas assez. Peut-être parce que c’était un championnat inférieurs aux autres. Pourtant, même en Grèce, les buts faut les mettre au fond. Le ballon ne rentre pas tout seul dans les filets. Maintenant si j’arrive à reproduire la même chose en Italie, ça fera bouger les choses » a-t-il ajouté.
