Didier Deschamps, l’entraîneur de l’OM, est revenu longuement sur l’épisode du vrai-faux départ d’André-Pierre Gignac lors de la dernière journée du Mercato estival. Dans les colonnes de La Provence, il fait également le point sur le début de saison de son équipe. Extraits
Les critiques le concernant
Je n’ai pas de souci avec ça. Il est assez agréable de recevoir des louanges quand tout marche bien ; il est norma que les critiques fusent quand on n’obtient pas les résultats escomptés. Je n’ai rien à redire, même si on entend un peu de tout. Le première critique, c’est mon auto-critique
Le faux départ de Gignac
La situation est pénible pour Dédé. Il est amer, je le comprends et l’accepte, mais on ne pouvait faire autrement. Si je ne comptais pas sur Gignac, je le lui aurait dit dès le mois de juin. L’idéal était de le garder et de prendre un autre attaquant. J’ai pris un risque, je l’assume.
La Ligue des Champions
On l’aborde avec ambition car on doit toujours en avoir. Sortir du groupe est un objectif. La tâche s’annonce compliquée. Au-delà de l’aspect économique, la présence et l’exposition du club sur la scène internationale sont indispensables. Ce groupe est équilibré, homogène. Avec ce regard, on peut terminer premier, on peut aussi finir dernier !