Du coup, dans les colonnes du Progrès où il tient une chronique, Robert Herbin livre un constat accablant concernant son ancien club : « La conclusion que j’ai tiré est qu’à Lyon, il y a une culture, un passé. Nous aussi, nous avons un passé mais trop lointain, qui n’existe plus. Le club s’est détérioré progressivement. Le club est devenu moyen » estime celui qu’on appelait le Sphinx quand il entraînait l’ASSE.
Concernant les deux rencontres proprement dites, là aussi, Robert Herbin est réaliste : « On a connu le même scenario à trois jours d’intervalle. Individuellement, mentalement, on a des joueurs qui n’ont pas la capacité à se transcender. Batlles est un type bien mais il faudrait que les autres raisonnent comme lui » a-t-il ajouté.
Retrouvez l’intégralité de la chronique de Robert Herbin sur le site internet du Progrès.
