Alain Orsoni, le président de l’AC Ajaccio, qui a pris le risque de nommer Fabrizio Ravanelli à la tête de son équipe alors que le technicien italien n’avait jusqu’ici dirigé que des équipes de jeunes à la Juventus, a prix acte de la solidarité des joueurs avec leur entraîneur. Désormais, il attend des résultats.