Antoine Kombouaré, l’ancien coach du PSG, est revenu sur son passage au sein du club parisien. Dans les colonnes de l’Equipe ce mardi, il revient sur plusieurs sujets. Extraits.
Son éviction
Bien sûr que je me suis vu sur le banc quand j’ai regardé les matches contre le Barça. Bien sûr que j’ai rêvé d’entraîner des joueurs comme Ibrahimovic, Lavezzi, Lucas. Si j’ai eu Ménez, Makelele, Nene, c’est parce que j’étais au PSG.
Leonardo
Mes relations de travail avec Leonardo étaient très fraîches. Je ne me plains pas attention. Je n’en voudrai jamais ni à Leonardo, ni à ses supérieurs. Je n’étais qu’un salarié d’une entreprise.
Ancelotti
La logique serait qu’il reste. Il peut être serein. Il a l’appu de ses dirigeants, notamment son ami très proche, Leonardo
Ménez
Moi j’aime ce gamin. Je sais qu’il est doué. C’est l’un des plus grands attaquants que j’ai eu à coacher. Il a les qualités pour jouer à la place de Lavezzi ou Pastore. Mais je comprends Ancelotti quand il se dit que Ménez peut lui tuer son match à cause de problèmes comportementaux. Parce qu’il traîne des pieds, parce qu’il a une attitude parfois, de petit branleur. Mais je le dis affectueusement. Si j’étais là, je le lui dirais de la même manière : arrête de faire chier ton monde avec ton desarroi. Tu es un super joueur, tu gagnes bien ta vie, tu es en équipe de France. Le très haut niveau ne pardonne pas ces problèmes d’attitude.