Les images de violences sur les terrains de football au niveau amateur ont fait le tour des médias ces derniers jours. Certains estiment que celles-ci sont le résultat de mauvais exemples montrés par le football professionnel.
D’ailleurs, Renaud Hocq, président de l’Union nationale des arbitres de football du Val-de-Marne (UNAF 94), fustige les écarts de conduites des professionnels, à l’image de l’incident de Leonardo : « Je ne vais pas revenir sur l’affaire Leonardo (le directeur sportif parisien avait bousculé Alexandre Castro, l’arbitre de PSG-Valenciennes, dans les couloirs du Parc des Princes, le 5 mai dernier, ndlr). Mais quand on prend un haut dirigeant d’un grand club qui se permet de bousculer un arbitre devant tous les médias et que c’est repris en boucle par toutes les télés, il ne faut pas s’étonner qu’à l’étage inférieur quelqu’un franchisse la main courante pour aller bousculer un arbitre » estime le dirigeant.
« Ce qui s’est passé est la conséquence directe de ces actes là-haut« , affirme Renaud Hocq. Si effectivement certains mauvais exemples peuvent avoir une influence, le raccourci avec l’affaire Leonardo, parait un peu rapide et trop facile de la part d’un dirigeant du foot amateur pour des violences qui existent depuis de nombreuses années déjà. Bien avant l’arrivée de Leonardo au PSG comme directeur sportif.
2 commentaires
Raisonnement St.upide de ce Renaud. T’es c.on ou tu l’es pas c’est tout !
Quelle stupidité!