C’est d’abord une conversation avec le directeur sportif Corentin Martins : « Ses mots étaient simples. Son projet, clair. Il ne m’a pas vendu du vent pour essayer de m’attirer. J’ai apprécié son naturel. Je lui ai demandé de m’accorder quelques jours de réflexion. Notre deuxième conversation a été plus longue. Il m’a dit qu’il comptait sur moi pour apporter son expérience et la faire partager ensuite en toute humilité. Cette fraîcheur m’a séduit. Après, des deux côtés, on a fait des efforts pour faire affaire » explique Jonathan Zebina dans les colonnes de France-Football.
Il reconnaît également que la peur de se retrouver sans club l’a fait réfléchir très vite : « Il y a de plus en plus de joueurs sur le marché et je ne souhaitais pas passer tout le mois d’août à attendre une équipe. Je ne voulais pas faire mon choix à la dernière minute en ayant le couteau sous la gorge. Rejoindre Brest, c’est plus un pari qu’un coup de coeur. Mais un pari avec des gens honnêtes » a-t-il ajouté.
